Les cyclistes ne sont pas plus parfaits que les autres usagers. Avec la démocratisation du vélo en zone urbaine, les infractions sont nombreuses et visibles.
Les erreurs des uns ne justifient ni ne compensent toutefois aucunement celles des autres.
Répondre « oui mais les cyclistes… » dans une discussion à propos d’un problème subit par les cyclistes revient à considérer qu’il est légitime de causer problème à partir du moment où il existe des cyclistes qui commettent eux aussi des infractions. Cela vous fait simplement prendre le parti des chauffards et des usagers irrespectueux, tout moyen transport confondu.
Tout ça fait aussi partie de la neutralisation de responsabilité, en cherchant à condamner ceux qui condamnent.
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